Les œuvres récompensées

1er prix du jury

Aisha Kanzari : L’origine du mouvement

Le titre de cette œuvre est un clin d’œil au célèbre tableau de Gustave Courbet, la forme capturée pouvant rappeler le mont de Vénus.  Cette photo invite l’observateur à s’interroger sur la nature du mouvement à l’origine de cette forme. Elle capture une forme d’éclat, de fontaine, ou de geyser, témoin d’un mouvement passé.

2eme prix du jury

Hanen Khabou : L’autoroute rétinienne

Observation au microscope à fluorescence d’axones (lignes bleues) de cellules ganglionnaires (ronds bleus). L’image illustre le voyage de l’information visuelle. Le signal lumineux est converti en signal électrique. Il traverse à grande vitesse toutes ces routes rétiniennes interconnectées. Le cerveau interprètera ensuite l’image reçue.

3eme prix du jury

Jean Baptiste Thomazo : Les piliers au marché

Il s’agit d’une photo fixe d’une multitude de petits piliers (~1/2 mm) qui sortent pour faire le marché.Certains discutent entre eux, d’autres font la queue pour leurs achats,Il y a beaucoup d’agitation!Voilà voilà.

1er prix du public

Patrick et Mathilde Cormier : Danse avec l’oursin

Observation d’une larve d’oursin au microscope photonique. L’effet de mouvement tend à rappeler la nage aléatoire de la larve. La nuance de bleu fait référence à l’océan. Le spectateur est invité à contempler l’étrangeté et la beauté d’un organisme en vie, faisant abstraction des mécanismes moléculaires complexes étudiés dans nos laboratoires et qui président à son fonctionnement.

2eme prix du public

Lucas Joseph et Marion Morel: De la complexité de se mouvoir

La robotique humanoïde s’inspire entre autres des humains pour apprendre à réaliser des tâches de la vie quotidienne. D’un point de vue biomécanique, ces tâches requièrent une coordination que nous avons acquise à travers nos multiples interactions avec le monde et qui sont complexes à intégrer dans un robot.Cette œuvre représente un robot constitué d’une multitude de mouvements sportifs. Ces derniers sont traités par un algorithme d’apprentissage par imitation afin de permettre au robot de se déplacer le plus naturellement possible.